GaryrĂ©alise un classement des champions olympiques. ComplĂ©tez le tableau Ă  tĂ©lĂ©charger Ă  l'aide du texte suivant. La kayakiste française Émilie Fer a remportĂ© l'or lors des Jeux Olympiques de Londres en 2012. Elle a devancĂ© l'australienne Jessica Fox qui est repartie avec l'argent. Quel et le mot secret en C7? Liguedes champions 2021-2022 : toute l'actualitĂ© en direct, les matches, les rĂ©sultats, les classements, les joueurs, en photos et vidĂ©os. Soyez informĂ© de toute l'info en continu, en images FaceĂ  des Romains trop inefficaces, Manchester United a sereinement validĂ© son ticket pour les demi-finales de la Ligue des Champions en s’imposant Ă  Old Trafford (1-0). La Roma regrettera rĂ©aliserLes commerciaux par exemple vont rĂ©aliser un classement de leurs. RĂ©aliser les commerciaux par exemple vont rĂ©aliser un. School École nationale de commerce et de gestion de Casablanca; Course Title FINANCE 3399; Uploaded By antoniocunha1989. Pages 54 Ratings 100% (1) 1 out of 1 people found this document helpful; This preview shows page 33 - 36 out of 54 Natation Interview. Gary Hunt est pilote de l’air. Pas de ceux qui portent le treillis ou conduisent des avions de chasse. Non, de ceux qui manƓuvrent l’apesanteur comme personne. Huit fois Champion du Monde de haut-vol, le plongeur de 37 ans maitrise sa peur et domine sa discipline. Ou l’inverse. LindseyVonn (ski alpin), Wolfgang Linger (luge), Shelley Rudman (skeleton) et Eric Alard (bobsleigh) ont participĂ© Ă  une sĂ©ance de « discussion avec les champions » organisĂ©e dans le cadre du programme Apprendre et partager, sur le thĂšme « rĂ©aliser ses rĂȘves olympiques ». Lindsey, Shelley, Wolfgang et Eric sont d’abord interrogĂ©s sur l’importance de l’entourage PREMIERLEAGUE - Manchester United s'est rĂ©veillĂ©. Les Red Devils Ă©taient survoltĂ©s et se sont logiquerment imposĂ©s, ce lundi soir face Ă  Liverpool (2-1). MDCXP. Forums des ZĂ©ros Une question ? Pas de panique, on va vous aider ! Accueil > Forum > Site Web > PHP > RĂ©aliser un classement Liste des forums 8 avril 2010 Ă  192743 Bonjour ! j'aimerai rĂ©aliser un classement Ă  l'aide d'une table mysql voici ma structure de table table classement saison, equipeid, id_rencontre, num_journee, equipe, score c'est pour un classement de tennis de table mais je vais changer ça ici pour faire avec du foot ça va peut etre, ĂȘtre mieux compris D du coup ça me fait des lignes du genre '2010', '1', '1', '1', 'Lyon', 5 '2010', '1', '1', '1', 'Marseille', 5 ici c'est par exemple saison 2010, en Ligue 1 equipeid, l'id de la rencontre est de 1, journĂ©e 1, Lyon 5 - Marseille 5. j'aimerai lister tous les buts de chaque Ă©quipe en faisant une somme, les buts encaissĂ©s, le nombre de victoire ça je compte faire ça en PHP avec les conditions, le nombre de dĂ©faites ainsi que le nombre de buts encaissĂ©s. le tout avec des variables. le problĂšme que je suis confrontĂ© ==> quand je veux par exemple lister le nombre de buts inscrits par une Ă©quipe durant une mĂȘme pĂ©riode je vois pas trop comment faire ... merci beaucoup de votre aide 8 avril 2010 Ă  195549 Hello Citationquand je veux par exemple lister le nombre de buts inscrits par une Ă©quipe durant une mĂȘme pĂ©riode je vois pas trop comment faire ... Il faut que tu rajoutes quelques petites choses dans la close WHERE de ta requĂȘte SQL. Par exemple, quelque chose comme ça je ne suis pas certain de la syntaxe SELECT SUMscore as buts FROM table WHERE equipe="Lyon" AND num_journee BETWEEN 3 AND 5 Devrait renvoyer le nombre de buts marquĂ©s par Lyon entre la 3Ăšme et la 5Ăšme journĂ©e. 8 avril 2010 Ă  201152 oui mais pour faire cela dans toute les Ă©quipes ce n'est pas possible ? car s'il faut que je fasse ça dans toutes les Ă©quipes de mon club !! merci 8 avril 2010 Ă  201429 Il doit y avoir moyen de faire ça avec des GROUPE BY, mais mes connaissances en SQL ne sont malheureusement pas assez solides pour t'en dire plus. Tu pourrais peut-ĂȘtre t'en sortir en relisant la partie concernĂ©e du tuto PHP. 8 avril 2010 Ă  201727 merci Ă  toi si certains ont d'autres idĂ©es n'hĂ©sitez pas Anonyme 8 avril 2010 Ă  203824 Bonsoir, Tu peux mettre une exportation de ta table j'ai une petite idĂ©e mais je voudrais tester avant de marquer n'importe quoi. Si j'ai bien compris ton souhait, totalisĂ© les but et affichage par Ă©quipe avec un classement dĂ©croissant sur les butSELECT sum`score` as total_but, `equipe` FROM `classement` group by `equipe` order by `total_but` DESC 9 avril 2010 Ă  173718 en faite ce que j'aimerai faire => afficher un classement en fonction des points obtenus par Ă©quipe. j'ai rĂ©flĂ©chi et je pense que mettre le nombre de points gagnĂ©s par Ă©quipe dans la BDD serait plus facile. avec ma table score, j'ai une table qui gĂšre les matchs table rencontres/ voici ma table rencontres CREATE TABLE IF NOT EXISTS `rencontres` `rencontre_id` int11 NOT NULL auto_increment, `saison` int11 NOT NULL, `equipeid` int11 NOT NULL, `num_journee` int11 NOT NULL, `type_champ` varchar100 NOT NULL, `domicile` varchar100 NOT NULL, `exterieur` varchar100 NOT NULL, `score_domicile` varchar10 default NULL, `score_exterieur` varchar10 default NULL, PRIMARY KEY `rencontre_id` ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=utf8 AUTO_INCREMENT=7 ; - - Contenu de la table `rencontres` - INSERT INTO `rencontres` `rencontre_id`, `saison`, `equipeid`, `num_journee`, `type_champ`, `domicile`, `exterieur`, `score_domicile`, `score_exterieur` VALUES 1, 2010, 1, 20, 'français', 'Rennes', 'Lyon', '3', '0', 2, 2010, 1, 20, 'français', 'Marseille', 'Paris SG', '1', '1', 3, 2010, 1, 21, 'français', 'Paris SG', 'Rennes', '3', '0', 4, 2010, 1, 21, 'français', 'Marseille', 'Lyon', '1', '1', 5, 2010, 1, 22, 'français', 'Rennes', 'Marseille', '2', '2', 6, 2010, 1, 22, 'français', 'Lyon', 'Paris SG', '3', '0'; - Structure de la table `score` - CREATE TABLE IF NOT EXISTS `score` `saison` int11 NOT NULL, `equipeid` int11 NOT NULL, `num_journee` int11 NOT NULL, `equipe` varchar100 NOT NULL, `score` varchar10 default NULL, `points` int11 NOT NULL, PRIMARY KEY `saison`,`equipeid`,`num_journee`,`equipe` ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=utf8; - - Contenu de la table `score` - INSERT INTO `score` `saison`, `equipeid`, `num_journee`, `equipe`, `score`, `points` VALUES 2010, 1, 20, 'Lyon', '1', 0, 2010, 1, 20, 'Marseille', '1', 1, 2010, 1, 20, 'Paris SG', '1', 1, 2010, 1, 20, 'Rennes', '2', 3, 2010, 1, 21, 'Lyon', '1', 1, 2010, 1, 21, 'Marseille', '1', 1, 2010, 1, 21, 'Paris SG', '2', 3, 2010, 1, 21, 'Rennes', '0', 0, 2010, 1, 22, 'Lyon', '2', 3, 2010, 1, 22, 'Marseille', '2', 1, 2010, 1, 22, 'Paris SG', '0', 0, 2010, 1, 22, 'Rennes', '2', 1; EDIT => je voudrai faire le classement par Ă©quipe donc je pensais Ă  une boucle mais le problĂšme c'est qu'il ne faudrait pas que je mette un nom d'Ă©quipe dans la requĂȘte car il faudrait que le classement se fasse quelque soit les Ă©quipes. Le classement se composerait de la maniĂšre suivante - nom de l'Ă©quipe - match jouĂ© en faisant un COUNT - victoires en comptant les 3 points - nuls en comptant les 1 point - dĂ©faites en comptant les 0 pt - buts marquĂ©s pour ça je ne sais pas comment m'y prendre - buts encaissĂ©s pour ça je ne sais pas comment faire. merci Anonyme 9 avril 2010 Ă  183618 re, Difficile de rĂ©pondre comme cela directement cela demande tout de mĂȘme un peut de rĂ©flexion car Ă  mon sens en premiĂšre analyse tu es trĂšs mal partie dans la conception des tables beaucoup de chose redondante car pout moi tel que je le vois la en 2mn Une table Ă©quipe avec id, id_equip, nom, nb_journees_jouee et point qui va servir au classement Une table match avec id, id_match, journee, id_equip_local, id_equip_exterieur, but_local, but_exterieur qui va servir Ă  afficher les matchs avec une liaison pour reprendre le nom des Ă©quipes avec la table prĂ©cĂ©dente et qui lors de la mise Ă  jour doit aussi mettre Ă  jour le nombre de point dans la table prĂ©cĂ©dente en fonction du rĂ©sultat et si le nb de journĂ©e est bien infĂ©rieur Ă  la journĂ©e table match, mais dĂ©jĂ  je vois ce pointer le problĂšme comment gĂ©rer les journĂ©e en retard quand une journĂ©e est dĂ©calĂ© bien que j5 est aussi bien infĂ©rieur Ă  8 que 5 si c'est la 5 qui est faite plus tard Donc il faut bien poser le problĂšme sur papier et bien analyser ce que doit faire tout cela.... et d'autre table mais que je n'arrive pas la tout de suite Ă  dĂ©finir sans bien poser le problĂšme. Si quelqu'un a un autre avis avant que je parte complĂštement dans la rĂ©flexion ou que fasse partir "fandusrfc" sur une fausse piste!! 9 avril 2010 Ă  185053 bah si une journĂ©e est dĂ©calĂ©e on laisse le 0-0 par dĂ©faut non ? mais aprĂšs je vois pas comment nommer une Ă©quipe en variable pour faire le classement ça, çà m'Ă©chappe complĂštement. Merci Ă  toi en tout cas Anonyme 9 avril 2010 Ă  185608 re, dans la table classement tu va utiliser le nom de l'Ă©quipe avec un order by sur les point l'id_equip ne servira que de liaison vers les autres tables la rĂ©fĂ©rence en quelque sorte mais comme dit cela mĂ©rite une vrais analyse et pas une rĂ©ponse toute faite en 5mn!! Car la ce qui est important pour que ton script fonctionne bien et de trĂšs bien concevoir les tables aprĂšs le php c'est le dessert!! 9 avril 2010 Ă  190103 oui et pour prendre les buts marquĂ©s et encaissĂ©s ? car c'est le mĂȘme numĂ©ro de match par dĂ©finition juste le nom de l'Ă©quipe qui change. ne t'inquiĂšte pas j'ai dĂ©jĂ  rĂ©flĂ©chi murement Ă  la question ! mais il y a toujours des amĂ©liorations ! merci Anonyme 10 avril 2010 Ă  195912 merci, je vais regarder mais je prĂ©fĂšre faire moi mĂȘme, au moins je sais ce que je fais ! Anonyme 11 avril 2010 Ă  03035 merci il n'y en a pas de gratuit du mĂȘme type qui sont bien ? Anonyme 11 avril 2010 Ă  103834 re, Tu as ici une version gratuite de navicatMysql ==> Navicat Lite par contre je ne sais pas du tout ce qu'il vaut je suis en train de tester un peut la version pleine mysql ==> Navicat for MySQL Exemple en illustration structure des tables seulement deuxCREATE TABLE `equipe` `id` tinyint9 NOT NULL AUTO_INCREMENT, `nom_equipe` varchar50 DEFAULT NULL COMMENT 'Nom de l''equipe', `nb_journees_jouee` int11 DEFAULT NULL, `point` int11 DEFAULT NULL, PRIMARY KEY `id`, UNIQUE KEY `nom_equipe` `nom_equipe` ENGINE=MyISAM AUTO_INCREMENT=6 DEFAULT CHARSET=utf8; - - - Records of equipe - - INSERT INTO `equipe` VALUES '1', 'strasbourg', null, null; INSERT INTO `equipe` VALUES '2', 'lyon', null, null; INSERT INTO `equipe` VALUES '3', 'laval', null, null; INSERT INTO `equipe` VALUES '4', 'auxere', null, null; INSERT INTO `equipe` VALUES '5', 'paris', null, null; - - - Table structure for `resultat_match` - - DROP TABLE IF EXISTS `resultat_match`; CREATE TABLE `resultat_match` `id_match` tinyint11 NOT NULL AUTO_INCREMENT, `journee` int11 DEFAULT NULL, `id_equip_local` int11 DEFAULT NULL, `id_equip_exterieur` int11 DEFAULT NULL, `but_local` int11 DEFAULT NULL, `but_exterieur` int11 DEFAULT NULL, `joue_le` timestamp NOT NULL DEFAULT CURRENT_TIMESTAMP ON UPDATE CURRENT_TIMESTAMP, PRIMARY KEY `id_match` ENGINE=MyISAM AUTO_INCREMENT=6 DEFAULT CHARSET=utf8; - - - Records of resultat_match - - INSERT INTO `resultat_match` VALUES '1', '1', '1', '3', '3', '2', '2010-04-06 235050'; INSERT INTO `resultat_match` VALUES '2', '1', '3', '4', '2', '2', '2010-04-06 235050'; INSERT INTO `resultat_match` VALUES '3', '1', '5', '2', '0', '0', '2010-04-06 235050'; INSERT INTO `resultat_match` VALUES '4', '2', '4', '5', '3', '2', '2010-04-10 235050'; INSERT INTO `resultat_match` VALUES '5', '2', '2', '1', '3', '2', '2010-04-10 235050'; Vue relationnel entre les tables Code php pour la page rĂ©sultat des match Untitled Document '; echo 'JournĂ©e '.$donee['journee'].''; echo 'Le match entre '.$donee['equip_local'].' et '.$donee['equip_exterieur'].''; echo 'Resultat des buts '.$donee['but_local'].'-'.$donee['but_exterieur'].''; } mysql_close$conect; ?> et voila le rĂ©sulta en affichage Alors la c'est un exemple simple qui ne montre peut ĂȘtre pas complĂštement l'intĂ©rĂȘt de la procĂ©dure, mais dĂ©jĂ  on constate que la table "resultat_match" ne comporte que des valeur numĂ©rique donc trĂšs lĂ©gĂšre et c'est la table "equipe" qui contient du texte et en mĂȘme temps pourra ĂȘtre rĂ©utilisĂ© pour faire l'affichage des statistiques de point sur la saison en cour. RĂ©aliser un classement × AprĂšs avoir cliquĂ© sur "RĂ©pondre" vous serez invitĂ© Ă  vous connecter pour que votre message soit publiĂ©. × Attention, ce sujet est trĂšs ancien. Le dĂ©terrer n'est pas forcĂ©ment appropriĂ©. Nous te conseillons de crĂ©er un nouveau sujet pour poser ta question. PubliĂ© le 13/08/2022 Ă  1844, Mis Ă  jour le 13/08/2022 Ă  2115 David Popovici, 17 ans, a effacĂ© des tablettes le record du monde de Cesar Cielo. ANTONIO BRONIC / REUTERS Le jeune prodige roumain a amĂ©liorĂ© samedi Ă  Rome le record du monde du 100 m nage libre en finale des Championnats d'Europe de natation. David Popovici a encore frappĂ©. La nouvelle sensation de la natation mondiale, qui n'a pas encore 18 ans, a battu samedi Ă  Rome le record du monde du 100 m nage libre en finale des Championnats d'Europe. Il n'y a pas beaucoup d'adjectifs que je peux utiliser pour dĂ©crire ce que je ressens. Je suis juste heureux», a-t-il simplement dĂ©clarĂ© aprĂšs avoir reçu sa 17 ans, le rĂ©cent double champion du monde a effacĂ© des tablettes la marque du BrĂ©silien Cesar Cielo, qui tenait depuis 2009, en s'imposant en soit 5 centiĂšmes de mieux. Pas loin de la course parfaite? Je pense, oui», a-t-il lancĂ©. Enfin, c'est Ă  mon coach de dĂ©cider ça mais pour le moment, je pense que c'est probablement la meilleure course que j'ai jamais faite.»Nouvelles limites»J'avais prĂ©vu d'aller trĂšs vite et j'avais prĂ©vu de m'amuser et c'est Ă  peu prĂšs tout. On devait penser Ă  des petites choses techniques mais Ă  part ça, la mĂ©daille est un bonus, un super bonus bien sĂ»r et je suis vraiment content d'avoir battu ce record du monde lĂ©gendaire», a expliquĂ© Popovici. Dans le bassin en plein air du Foro Italico, immense complexe multisports de la capitale italienne, il a devancĂ© le Hongrois Kristof Milak et l'Italien Alessandro Miressi le Français Maxime Grousset devant se contenter de la quatriĂšme sacrĂ© aux Mondiaux de Budapest sur les 100 et 200 mĂštres nage libre, a donc amĂ©liorĂ© le record du monde rĂ©alisĂ© en combinaison par Cielo il y a treize ans, Ă  l'Ă©poque - rĂ©volue - oĂč les records tombaient Ă  la pelle grĂące aux combinaisons en polyurĂ©thane. C'est chouette d'Ă©tablir de nouvelles limites. Les records sont faits pour ĂȘtre battus. J'espĂšre que quelqu'un battra le mien et que je battrai le sien. C'est ça le sport», a-t-il en demi-finale, dans un temps de 46 sec 98, le natif de Bucarest Ă©tait devenu le quatriĂšme homme seulement Ă  descendre sous les 47 secondes derriĂšre Cielo, le Français Alain Bernard et l'AmĂ©ricain Caeleb Dressel À noter que la marque de Bernard n'avait toutefois pas Ă©tĂ© homologuĂ©e officiellement en raison d'une combinaison non-valide.Pas d'urgence»Hier j'ai dit que le record d'Europe Ă©tait juste un pas dans la bonne direction, et j'avais raison», a rappelĂ© Popovici aprĂšs son exploit. Il n'y avait pas d'urgence et j'ai dĂ» ĂȘtre extrĂȘmement patient pour le record du monde», a expliquĂ© le nageur roumain. Ces championnats ne sont pas encore terminĂ©s, ni cette trĂšs longue saison», a soulignĂ© celui qui doit encore participer aux championnats du monde juniors qui dĂ©butent fin aoĂ»t au PĂ©rou. À Rome, il doit encore disputer les 200 et 400 m nage libre.Cela a fait mal, mais cela en vaut toujours la peine et je me sens bien maintenant», a-t-il expliquĂ© au sujet de sa course. C'Ă©tait gĂ©nial et c'est trĂšs spĂ©cial de battre ce record qui a Ă©tĂ© Ă©tabli ici en 2009 par Cesar Cielo» dans la mĂȘme piscine du Foro Italico, a ajoutĂ© lors des championnats d'Europe juniors l'Ă©tĂ© dernier, dĂ©jĂ  Ă  Rome, Popovici avait confirmĂ© quelques semaines plus tard aux Jeux olympiques de Tokyo. Alors qu'il n'avait que 16 ans, il avait Ă©chouĂ© Ă  2 centiĂšmes du bronze en finale du 200 m nage libre avant de prendre la septiĂšme place de la finale du 100 m nage progression n'a pas cessĂ©. À Budapest, en juin dernier, il est devenu le premier homme Ă  rĂ©aliser le doublĂ© de la nage libre 100-200 m dans des Championnats du monde depuis prĂšs de cinquante ans. Sa performance samedi finit de l'installer au sommet de la natation masculine mondiale. Natation le Roumain Popovici amĂ©liore le record du monde du 100 m nage libre en finale des championnats d'Europe S'ABONNERFermerS'abonner Le boxeur du BC Marcel-Cerdan avait connu des pĂ©pins de santĂ© et n’était pas au top pour ses deux derniers combats. Il a retrouvĂ© son potentiel. Cela promet pour son combat de ce samedi 18 dĂ©cembre. Jaouad Belmehdi a plus que jamais des fourmis dans les gants. Le boxeur biterrois trĂ©pigne d’impatience Ă  l’idĂ©e d’affronter Issa Mourzaev, samedi soir, lors de la Nuit Cerdan, le gala organisĂ© par son club le BC Marcel-Cerdan au Parc des expositions. Il combattra juste avant que Bastien Ballesta ne monte sur le ring pour tenter de remporter le titre de l’Union europĂ©enne. En cas de victoire, Jaouad Belmehdi, 23 ans, qui compte seize combats 13 victoires, 3 nuls grimpera au classement europĂ©en et pourra, alors, viser encore plus haut. Pour l’heure, il est dixiĂšme. Cela me fait un grand plaisir de boxer devant le peuple biterrois Il ne cache pas ĂȘtre excitĂ© Ă  l’idĂ©e de boxer devant son public et ses fans. Un grand honneur pour lui "Cela me fait vraiment trĂšs chaud au cƓur, de savoir qu’il va y avoir du monde, devant tous mes partenaires grĂące Ă  qui je suis lĂ , savoure le double champion de France de la catĂ©gorie lĂ©ger. Cela me fait un grand plaisir de boxer devant le peuple biterrois !" Issa Mourzaev n’est pas un inconnu pour le jeune boxeur du BCMC. Il l’a affrontĂ© au tournoi de France. Il l’avait dominĂ© en quart de finale de l’épreuve "C’est un boxeur trĂšs dur au mal, assure Jaouad. Il vient de rĂ©aliser de trĂšs belles prestations lors de ses derniers combats. Il frappe fort et travaille bien sa boxe. C’est un guerrier." Issa Mourzaev, 29 ans, a disputĂ© 31 combats. Il a signĂ© 12 victoires, 15 dĂ©faites et 4 nuls. Il a remportĂ© ses deux derniers duels. Il a notamment battu Meryl Vegas que Jaouad Belmehdi a dominĂ© en fĂ©vrier 2020. Un mental au beau fixe Comme Ă  son habitude, le boxeur biterrois n’a pas particuliĂšrement de pression sur les Ă©paules Ă  l’idĂ©e de monter sur le ring. Il a beaucoup travaillĂ© depuis deux mois et annonce ĂȘtre en forme. Pour se prĂ©parer au mieux, il a notamment mis les gants avec Sofian Ouhmia, double mĂ©daillĂ© d’or au championnat du monde amateur et qui a disputĂ© les Jeux olympiques de Rio et de Tokyo. Localement, il a aussi croisĂ© le fer avec le Marseillanais Moussa Gary "Je me sens bien, assure-t-il. J’ai de trĂšs bonnes sensations. J’espĂšre pouvoir donner le meilleur de moi-mĂȘme afin de livrer la meilleure copie possible." Le boxeur biterrois est en tout cas en meilleure forme physique et mentale que lors de ces deux derniers combats qu’il a toutefois remportĂ©s "Il ne faut pas se mentir, souffle-t-il. J’ai eu des problĂšmes de santĂ©. Dans ma tĂȘte, je n’étais pas, non plus, au top. Ce n’était pas le vrai Jaouad que l’on a vu lors de mes deux derniers combats. J’espĂšre que ce samedi, on retrouvera enfin le vĂ©ritable bombardier marocain ! La seule pression que j’ai, est celle de bien faire et d’ĂȘtre Ă  mon meilleur niveau." J’ai de trĂšs bonnes sensations. J’espĂšre pouvoir donner le meilleur de moimĂȘme afin de livrer la meilleure copie possible Rudy Ruiz, l’entraĂźneur de Jaouad Belmehdi, ne cache pas avoir rarement vu son boxeur aussi prĂȘt avant de monter sur un ring "Vraiment, il n’a rien Ă  voir avec ses prĂ©cĂ©dents combats, assure le technicien du BC Marcel-Cerdan. Il est de retour pour de vrai ! Et il va le prouver." Connu pour ĂȘtre expĂ©ditif et frapper trĂšs fort, le Biterrois ne fera certainement pas dans le dĂ©tail. Surtout devant son public qu’il ne voudra pas dĂ©cevoir. AprĂšs une Ă©dition annulĂ©e en raison de la Grande Guerre, les Jeux Olympiques reprennent en 1920 dans la ville d’Anvers. Les Olympiades de 1924, cĂ©lĂ©brĂ©es Ă  Paris, sont placĂ©es sous le signe de la diversitĂ© des nations prĂ©sentes le nombre de nations reprĂ©sentĂ©es passe de 29 Ă  44. Les Jeux Olympiques de 1936, organisĂ©s Ă  Berlin aprĂšs ceux de Los Angeles en 1932 les premiĂšres olympiades organisĂ©es depuis le dĂ©but de la crise Ă©conomique de 1929, donnent au IIIe Reich l’occasion de glorifier son rĂ©gime. Cette Ă©dition sera la derniĂšre avant 1948 car, entre-temps, la Seconde Guerre mondiale va empĂȘcher deux olympiades consĂ©cutives 1940 et 1944. VIIe OLYMPIADE - 1920 ı Anvers VIIe OLYMPIADE 20 AOÛT-12 SEPTEMBRE 1920 Anvers ı BELGIQUE L’équipe française portant le bĂ©ret Ă  cocarde tricolore, photographie de presse, 1920. MarquĂ©s par des premiĂšres olympiques avec le serment et le drapeau olympique cinq anneaux, sur fond blanc, qui reproduisent les couleurs de toutes les nations et symbolisent les cinq continents unis par l'Olympisme, les Jeux Olympiques d’Anvers accueillent hommes et 65 femmes 2,47 % reprĂ©sentant 29 nations. Les États-Unis l’emportent au tableau des mĂ©dailles, comme en 1912, avec des athlĂštes tels Charles Paddock au 100 mĂštres, qui fait un saut de 4 mĂštres juste avant la ligne d’arrivĂ©e, ses nageurs et nageuses Duke Kahanamoku de HawaĂŻ — qui popularise le surf —, Norman Ross ou Ethelda Bleibtrey, et ses tireurs au pistolet et Ă  la carabine. En natation, l'AmĂ©ricaine Ethelda Bleibtrey s'impose dans les trois Ă©preuves fĂ©minines. Elle bat le record du monde chaque fois qu'elle entre dans l'eau, y compris lors de tours de qualification. La Finlande se distingue tout particuliĂšrement en cross et au mĂštres avec Paavo Nurmi, au marathon, au pentathlon, au triple saut, au lancer du poids, du disque et du javelot, et en brille en escrime avec les cinq mĂ©dailles d’or de Nedo Nadi tandis que la France remporte la palme de la mode et du glamour avec sa championne de tennis Suzanne Lenglen. Dans l’épreuve atypique du tir Ă  la corde, les policemen de Londres triomphent comme en 1908. Alors que les Jeux Olympiques prĂ©vus Ă  Berlin pour 1916 ont Ă©tĂ© annulĂ©s Ă  cause du conflit, Pierre de Coubertin et les autres membres du CIO considĂšrent qu’ils doivent retrouver leur cycle quadriennal dĂšs 1920 sous peine de disparaĂźtre. Si le choix se porte sur la ville belge d’Anvers alors que Lyon, La Havane et plusieurs villes amĂ©ricaines sont candidates, c’est qu’elle symbolise la rĂ©sistance Ă  l’invasion s’agit aussi de rĂ©pliquer Ă  l’offensive sportive des États-Unis en Europe qu’incarnent la YMCA et les Jeux InteralliĂ©s organisĂ©s par le gĂ©nĂ©ral amĂ©ricain Pershing Ă  Paris en juin-juillet 1919. Par ailleurs, Pierre de Coubertin et son collĂšgue belge Henri de Baillet-Latour s’opposent farouchement Ă  la participation des athlĂštes allemands et autrichiens et Ă  celle de leurs alliĂ©s comme les Hongrois, les Turcs et les Bulgares. Mais pour ne pas compromettre son idĂ©al de paix internationale, le CIO prend prĂ©texte que leurs États n’existent plus pour ne pas les inviter. Quant aux Britanniques, ils ont hĂ©sitĂ© Ă  venir car ils ont pour projet de crĂ©er des jeux limitĂ©s aux nations de leur Empire, finalement inaugurĂ©s en 1930 sous le nom de Jeux de l’Empire britannique, compĂ©tition qui perdure aujourd’hui sous le nom de Jeux du Commonwealth. Les chiffres clĂ©s de la VIIe OLYMPIADE AthlĂštes 2561 2,47 % DE SPORTIVES VIIe Olympiade. Anvers Belgique, affichesignĂ©e Walter van der Ven & Co, 1920. Jeux Paralympiques - 00 dĂ©but en 1960 Jeux d'hiver - 00 dĂ©but en 1924 Classement ÉTATS-UNIS SUÈDE GRANDE-BRETAGNE Liens externes VIIIe OLYMPIADE - 1924 ı Paris VIIIe OLYMPIADE 4 MAI-27 JUILLET 1924 Paris ı FRANCE DĂ©filĂ© de l’équipe de France, photographie, 1924. Lors des Jeux Olympiques parisiens de 1924, le nombre de ComitĂ©s Nationaux Olympiques participant passe de 29 Ă  44. Cette augmentation rĂ©vĂšle l’ampleur prise par les Jeux Olympiques et symbolise dĂ©sormais la diversitĂ© du monde. La popularitĂ© de cette Ă©dition parisienne — c’est la premiĂšre fois qu’une ville reçoit pour la seconde fois les Jeux Olympiques — est consacrĂ©e par la prĂ©sence de plus de mille journalistes, en lien avec l’apparition du direct Ă  la radio, rendu possible par les installations prĂ©vues par les organisateurs. CouplĂ©s Ă  la semaine internationale des sports d’hiver de Chamonix nommĂ©e ultĂ©rieurement Jeux Olympiques d’hiver, ils font de la France la pierre angulaire du sport mondial. L’Équateur, l’Irlande, la Lituanie, les Philippines et l’Uruguay y participent pour la premiĂšre fois. Les Jeux Olympiques de Paris sont aussi les premiers Ă  organiser une cĂ©rĂ©monie de clĂŽture telle que nous la connaissons aujourd’hui et Ă  loger des athlĂštes dans un village olympique constituĂ© de cabanes en bois. Trois drapeaux y sont dĂ©ployĂ©s celui du ComitĂ© International Olympique, du pays accueillant les Jeux Olympiques et du prochain pays Britanniques Harold Abrahams et Eric Liddell remportent respectivement le 100 mĂštres et le 400 mĂštres. Leurs Ă©tonnants parcours jusqu’aux Jeux Olympiques sont retracĂ©s dans le film Les Chariots de feu de Hugh Hudson. Mais cette Ă©dition, avec athlĂštes hommes et 135 athlĂštes femmes 4,37 % est aussi celle de la diversitĂ© ». En effet, il n’y a pas d’exclusion de minoritĂ©s, de populations coloniales ou de groupes spĂ©cifiques comme lors des Jeux Olympiques de 1904, bien au contraire, les grandes puissances impĂ©riales mobilisent dĂ©sormais les athlĂštes de leur empire pour conquĂ©rir des mĂ©dailles, comme les États-Unis leurs minoritĂ©s ». De fait, lors de ces Jeux, l’athlĂšte africain-amĂ©ricain William DeHart Hubbard sera mĂ©daillĂ© d’or. Cette Ă©dition est Ă©galement marquĂ©e par la mise en scĂšne de la propagande politique de l’Italie fasciste lors des Ă©preuves d’escrime mais aussi par les violences lors des matchs de star de cette Ă©dition est le coureur finlandais Paavo Nurmi qui remporte cinq mĂ©dailles d’or, aux cĂŽtĂ©s du nageur Johnny Weissmuller lors des Ă©preuves ayant pour cadre la piscine des Tourelles. Le 5 juillet 1924, spectateurs assistent Ă  la cĂ©rĂ©monie d’ouverture. Sur le site de Colombes se dĂ©roulent principalement les Ă©preuves d’athlĂ©tisme, de rugby, de football dont notamment la finale remportĂ©e par l’Uruguay. Le public assiste Ă©galement au dĂ©part et Ă  l’arrivĂ©e de l’épreuve de cyclisme sur route et Ă  la derniĂšre prĂ©sence du rugby Ă  XV dans une Olympiade, considĂ©rĂ© comme trop violent aprĂšs une bagarre entre supporteurs et joueurs amĂ©ricains. Les compĂ©titions d’aviron ont lieu sur le bassin de Colombes-Argenteuil. Au palmarĂšs, la France termine deuxiĂšme derriĂšre les États-Unis et devant la Finlande avec 12 mĂ©dailles d’or, 13 d’argent et 10 de bronze. Les chiffres clĂ©s de la VIIIe OLYMPIADE AthlĂštes 3089 4,37 % DE SPORTIVES Paris 1924. Jeux Olympiques,affiche signĂ©e Jean Droit, 1924. Jeux Paralympiques - 00 dĂ©but en 1960 Jeux d'hiver 258 athlĂštes Classement ÉTATS-UNIS FINLANDE FRANCE Liens externes IXe OLYMPIADE - 1928 ı Amsterdam IXe OLYMPIADE 17 MAI-12 AOÛT 1928 Amsterdam ı PAYS-BAS Le serment olympique par le footballeur Harry DĂ©nis [Pays-Bas] devant son drapeauet les reprĂ©sentants des nations, carte postale dessinĂ©e, 1928. Riches en performances et innovations, les Jeux Olympiques d’Amsterdam sont un succĂšs durant l’étĂ© 1928. Un succĂšs aussi parce qu’ils se situent au cƓur de la brĂšve pĂ©riode d’accalmie des tensions gĂ©opolitiques en Europe, aprĂšs les accords de Locarno en octobre 1925, signĂ©s notamment par l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni mais aussi l’Italie de Mussolini afin de garantir provisoirement une sĂ©curitĂ© collective en Europe. 46 nations parmi lesquelles se trouve l’Allemagne de retour aux Jeux Olympiques depuis son exclusion aprĂšs la guerre et athlĂštes dont 277 femmes 9,61 % sont prĂ©sentes. Pour cette Olympiade, on note plusieurs nouveautĂ©s le rituel de l’allumage de la flamme olympique ainsi que l’accĂšs d’athlĂštes fĂ©minines Ă  certaines Ă©preuves d’athlĂ©tisme et de gymnastique artistique, aprĂšs bien des polĂ©miques et les rĂ©sistances de Pierre de Coubertin puis celles de son successeur Henri cette Olympiade, Amsterdam se dote d’un stade flambant neuf, Ɠuvre de l’architecte Jan Wils pouvant accueillir spectateurs. Outre la sensation provoquĂ©e par la victoire de l’ indigĂšne algĂ©rien » issu de l’Empire colonial français Ahmed Boughera El Ouafi lors de l’épreuve du marathon, les performances les plus marquantes sont rĂ©alisĂ©es par des athlĂštes de lĂ©gende. Au premier rang de ceux-ci se trouvent les Finlandais volants » qui dominent largement les Ă©preuves d’athlĂ©tisme. Le plus en vue est Paavo Nurmi qui, confirmant les cinq mĂ©dailles d’or obtenues en 1924, s’octroie une nouvelle mĂ©daille d’or en mĂštres et deux mĂ©dailles d’argent en mĂštres et mĂštres steeple. La Suisse applaudit son hĂ©ros, le gymnaste Eugen Mack qui dĂ©croche deux mĂ©dailles d’or Ă  Amsterdam et qui reste le sportif suisse le plus mĂ©daillĂ©, avec huit titres, dont cinq gagnĂ©s Ă  Berlin en confirmation pour le nageur amĂ©ricain Johnny Weissmuller, comme en 1924 Ă  Paris, avec deux mĂ©dailles d’or en 100 mĂštres nage libre et relais 4x200 mĂštres nage libre. Alors que le tennis, le polo, le tir et le rugby ne figurent plus au programme, le grand exploit des Jeux Olympiques se trouve dans la victoire de l’équipe indienne de hockey sur gazon estampillĂ©e raj britannique » en finale sur les Pays-Bas, avec l’emblĂ©matique Dhyan Chang Singh, considĂ©rĂ© comme le plus grand sportif indien de tous les temps. Enfin, la presse retient l’aventure de l’Australien Henry Pearce qui, en quart de finale du rameur-skiff, s’arrĂȘte pour laisser passer une famille de canards, puis remonte ses concurrents et dĂ©croche la mĂ©daille d’or. Les chiffres clĂ©s de la IXe OLYMPIADE AthlĂštes 2883 9,61 % DE SPORTIVES 1928. IXe Olympiade. Amsterdam,affiche signĂ©e Joseph Rovers, 1928. Jeux Paralympiques - 00 dĂ©but en 1960 Jeux d'hiver 464 athlĂštes Classement ÉTATS-UNIS ALLEMAGNE FINLANDE Liens externes Xe OLYMPIADE - 1932 ı Los Angeles Xe OLYMPIADE 30 JUILLET-14 AOÛT 1932 Los Angeles ı ÉTATS-UNIS Los Angeles Coliseum Olympic Stadium, carte postale colorisĂ©e, 1932. AprĂšs Saint-Louis en 1904, le CIO confie Ă  nouveau les Jeux Olympiques Ă  un pays non europĂ©en. C’est un risque pour la rĂ©ussite des compĂ©titions car le dĂ©placement des sportifs europĂ©ens sur la cĂŽte ouest des États-Unis nĂ©cessite un budget substantiel pour financer une semaine de voyage en paquebot, puis une autre pour la traversĂ©e du pays, comme l’expĂ©rience de Saint-Louis en 1904 l’a montrĂ©. Pour les Ă©lites dirigeantes de Los Angeles, les Jeux Olympiques sont une belle opportunitĂ© de promouvoir leur ville, en pleine explosion dĂ©mographique mais encore peu connue, alors que depuis 1929 la crise Ă©conomique ravage socialement le pays. En 1921 a commencĂ© la construction du Coliseum un gigantesque stade de places Ă  la mĂ©moire des vĂ©tĂ©rans de la PremiĂšre Guerre mondiale. Et en 1923, cet engagement permet de convaincre les membres du CIO. Mais Los Angeles est aussi un choix stratĂ©gique pour diffuser l’Olympisme dans l’aire gĂ©ographique de l’ocĂ©an terrible krach boursier de 1929 menace sĂ©vĂšrement l’avancĂ©e des prĂ©paratifs. Les financeurs ont moins d’argent et l’opinion publique s’indigne des dĂ©penses faites pour le sport alors que le chĂŽmage et la prĂ©caritĂ© explosent. Beaucoup d’installations existantes sont utilisĂ©es par les organisateurs. Au regard de la situation Ă©conomique, le prĂ©sident Herbert Hoover refusera d’ailleurs pour cette raison d’ouvrir officiellement les Jeux Olympiques, comme le font habituellement les chefs d’État. On craint Ă©galement, comme nous l’avons vu, que les sportifs europĂ©ens ne puissent financer leur voyage car la crise Ă©conomique frappe tout autant l’Europe. Pour pallier cela, les organisateurs construisent un village olympique » imposĂ© par le cahier des charges formulĂ© par le CIO aux villes hĂŽtes depuis les Jeux Olympiques de 1924 permettant d’ĂȘtre logĂ© et nourri pour seulement deux dollars par jour. Les participants hommes en profitent, mais les 126 femmes 9,45 %, quant Ă  elles, sont logĂ©es dans les hĂŽtels de la ville pour des raisons morales ». Le public amĂ©ricain et Ă©tranger est finalement bien au rendez-vous Ă  partir du 30 juillet 1932, pour voir le spectacle sportif pendant un peu plus de 15 jours la durĂ©e la plus courte pour des Jeux Olympiques jusqu’alors, mais aussi pour tenter d’apercevoir les stars d’Hollywood. Charlie Chaplin, Gary Cooper ou Buster Keaton assistent par exemple Ă  la cĂ©rĂ©monie d’ Mildred Didrikson s’impose sur le 80 mĂštres haies avec un record du monde de 11,7 secondes, mais remporte aussi le lancer du javelot avec un jet Ă  43,60 mĂštres record olympique et termine par une mĂ©daille d’argent au saut en hauteur. Une combinaison de podiums unique. Son compatriote Eddie Tolan rĂ©alise le doublĂ© aux 100 mĂštres et 200 mĂštres. Juan Carlos Zabala est le premier Argentin sacrĂ© en athlĂ©tisme, au marathon et il est toujours, Ă  20 ans, le plus jeune vainqueur de l’épreuve. Enfin, en natation, l’équipe du Japon est Ă  son sommet, avec quatre des cinq titres masculins. Les États-Unis terminent largement premiers de cette Ă©dition, alors que l’Italie se classe seconde. La propagande fasciste s’appuie sur ce rĂ©sultat pour vanter son modĂšle totalitaire. Finalement, grĂące Ă  l’union de tous les acteurs Ă©conomiques, politiques et culturels de Los Angeles, les Jeux Olympiques de la Grande DĂ©pression » sont une rĂ©ussite. NĂ©anmoins, le ComitĂ© d’organisation prĂ©fĂšre dĂ©truire le village olympique plutĂŽt que de le mettre Ă  disposition des milliers de sans-abris de la ville, crĂ©ant une polĂ©mique qui dure de nombreux mois. Les chiffres clĂ©s de la Xe OLYMPIADE AthlĂštes 1334 9,45 % DE SPORTIVES Olympic Games. 1932. Los Angeles, affiche signĂ©e Julio Kilenyi [repriseen couverture du programme], 1932. Jeux Paralympiques - 00 dĂ©but en 1960 Jeux d'hiver 252 athlĂštes Classement ÉTATS-UNIS ITALIE FRANCE Liens externes XIe OLYMPIADE - 1936 ı Berlin XIe OLYMPIADE 1er AOÛT-16 AOÛT 1936 Berlin ı ALLEMAGNE Stade olympique des Jeux Olympiques de Berlin, photographie, 1936. Les Jeux Olympiques sont accordĂ©s en 1931 Ă  l’Allemagne de Weimar. Lors de l’arrivĂ©e des nazis au pouvoir, en 1933, plusieurs voix s’élĂšvent contre l’octroi des Jeux Olympiques aux nouveaux dirigeants de l’Allemagne. Un vaste mouvement de boycott, menĂ© par les organisations sportives ouvriĂšres, des intellectuels et les partis de gauche en Europe et aux États-Unis, s’organise, mais Ă©choue Ă  convaincre les États. MalgrĂ© le projet de contre-olympiade Ă  Barcelone rendu impossible par la Guerre d’Espagne, les dirigeants des pays concernĂ©s craignent les consĂ©quences d’un boycott. Les nazis maintiennent l’illusion d’un pays normal », y compris en alignant Helen Mayer, une athlĂšte en partie d’origine juive elle est ce que les nazis appellent alors une mischlinge, une mĂ©tis » Ă  leurs yeux car seul son pĂšre est juif, Ă©tudiant alors aux États-Unis. Tous les autres athlĂštes juifs allemands ont Ă©tĂ© exclus des compĂ©titions Ă  l’image de la championne du monde de saut en hauteur, Gretel Bergmann, qui est intĂ©grĂ©e Ă  l’équipe allemande, puis en est chassĂ©e la veille des Jeux Olympiques. Helen Mayer obtient une mĂ©daille d’argent Ă  l’escrime et, ne se pensant nullement juive, fait le salut nazi sur le podium. Elle repart aux États-Unis aprĂšs les Jeux Olympiques. Finalement 49 pays et athlĂštes – dont 331 femmes 8,35 % – sont IIIe Reich perçoit tout le potentiel des Jeux Olympiques pour glorifier le rĂ©gime. AprĂšs les Jeux d’hiver de Garmisch-Partenkirchen, qui ont permis aux nazis de roder l’organisation et la mise en scĂšne des Jeux, les moyens dĂ©volus pour les Jeux d’étĂ© sont faramineux constructions d’infrastructures modernes – dont le stade olympique de Berlin, d’une capacitĂ© hors-normes de places –, accueil fastueux des athlĂštes et des reprĂ©sentants des pays invitĂ©s, propagande intense en Allemagne et Ă  destination du monde, mises en scĂšne inĂ©dites avec un dĂ©corum inspirĂ© de l’AntiquitĂ©. Artiste de gĂ©nie vouĂ©e au culte du FĂŒhrer, Leni Riefenstahl rĂ©alise le film Les Dieux du stade, diffusĂ© dĂšs 1938 dans plusieurs pays. La spectacularisation des compĂ©titions, grĂące aux films, aux innovations techniques, aux diffusions radiophoniques et, pour la premiĂšre fois, en direct Ă  la tĂ©lĂ©vision, expliquent que ces Jeux Olympiques soient considĂ©rĂ©s comme les premiers Jeux modernes ».Les Jeux Olympiques sont aussi marquĂ©s par les exploits de Jesse Owens qui remporte quatre mĂ©dailles d’or. Les États-Unis dominent les compĂ©titions d’athlĂ©tisme, suivis par l’Allemagne, celle-ci se distinguant dans les Ă©preuves de gymnastique. Enfin, le Japon domine les Ă©preuves de natation. La plongeuse amĂ©ricaine Marjorie Gestring devient, Ă  13 ans, la plus jeune championne olympique chez les hommes, en 1896, DimĂ­trios Loundras, a 10 ans. Les nazis prĂ©sentent au monde abasourdi une compĂ©tition grandiose et trĂšs bien organisĂ©e. Le pari de rendre l’Allemagne populaire et frĂ©quentable » est gagnĂ© en 1936. Les Jeux Olympiques sont dĂ©tournĂ©s pour servir les desseins d’une dictature, surtout que les organisateurs diffusent un discours de Pierre de Coubertin enregistrĂ© en 1935 avant la clĂŽture des Olympiades. Les chiffres clĂ©s de la XIe OLYMPIADE AthlĂštes 3963 8,35 % DE SPORTIVES Allemagne. Berlin 1936. Jeux Olympiques,affiche signĂ©e Werner WĂŒrbel, 1936. Jeux Paralympiques - 00 dĂ©but en 1960 Jeux d'hiver 646 athlĂštes Classement ALLEMAGNE ÉTATS-UNIS HONGRIE Liens externes XIIe & XIIIe OLYMPIADESOLYMP... - 1940 ı 1944 XIIe & XIIIe OLYMPIADES 1940 ı TOKYO JAPON [annulĂ©e] 1944 ı LONDRES GRANDE-BRETAGNE [reportĂ©e en 1948] XIIe Olympiade Tokyo 1940. Exposition internationale, carte postale de la direction gĂ©nĂ©rale du tourisme et des chemins de fer de l’état japonais, 1940. Comme en 1916, au regard de la Seconde Guerre mondiale et du contexte international, deux olympiades sont annulĂ©es. La XIIe Olympiade est prĂ©vue Ă  Tokyo pour 1940, avec le soutien de l’Allemagne nazie et de Benito Mussolini pour l’Italie qui retire sa candidature au profit du Japon dĂ©sormais alliĂ© des deux dictatures europĂ©ennes. En 1937, Ă  la suite de l’invasion de la Chine par le Japon, les Jeux Olympiques sont reprogrammĂ©s Ă  Helsinki, mais la Finlande retire sa candidature aprĂšs le dĂ©clenchement de la guerre avec l’URSS en 1939. L’Olympiade est dĂ©finitivement annulĂ©e et la Grande-Bretagne se voit attribuer la XIIIe Olympiade pour 1944, que le prolongement de la guerre annule. La XIVe Olympiade est organisĂ©e Ă  Londres au regard du report de 1944. Vous avez sans doute prĂ©vu d’aller courir ce week-end. Peut-ĂȘtre l’avez-vous dĂ©jĂ  fait. Peut-ĂȘtre allez-vous culpabiliser dimanche soir de ne pas en avoir eu le temps ou le courage. Ces rĂ©flexions font partie de notre quotidien. Elles sont pourtant trĂšs rĂ©centes. Une quarantaine d’annĂ©es, tout au plus. Jusqu’à la fin des annĂ©es 1960, personne ne courait. Sauf les fous et les voleurs. Il existait bien quelques courses hors stade, certaines mĂȘme prestigieuses comme le marathon de Boston ou historiques comme Morat-Fribourg, créée en 1932, mais elles ne rassemblaient que quelques centaines de concurrents. Tous Ă©taient des hommes, tous ĂągĂ©s de 20 Ă  40 ans, tous licenciĂ©s dans des clubs athlĂ©tiques, tous compĂ©titeurs et tous venus pour rĂ©aliser une a-t-on passĂ© de 2000 inscrits Ă  Morat-Fribourg en 1971 Ă  16 000 en 1986? Pourquoi en interdisait-on le dĂ©part aux fĂ©minines et aux juniors jusqu’en 1977? Pourquoi voit-on des milliers de femmes courir le marathon alors qu’elles n’avaient pas le droit de courir plus que 1500 mĂštres jusqu’en 1984? Que cherchent ces millions de personnes qui, occasionnellement ou rĂ©guliĂšrement, sortent de chez elles sans dossards, sans licence, sans chronomĂštre, sans classement, juste pour courir? Aujourd’hui, plus personne ne se pose ces questions parce que le regard sur la course Ă  pied a totalement la culture classique, la course est synonyme d’effort, d’endurance, de discipline. Les hĂ©ros qui courent sont tous tragiques, de PhilippidĂšs, mort d’avoir trop couru, Ă  Emil Zatopek, la locomotive tchĂšque, visage grimaçant, tourmentĂ©, qui semble en surchauffe permanente. Et puis soudain, cela devient une source de plaisir pour tous, de dĂ©couverte, de bien-ĂȘtre. Une fin en soi, et non plus un moyen d’entraĂźnement. Et mĂȘme un mode d’expression, peut-ĂȘtre le plus simple, le plus naturel, le plus gratuit. Lire aussi Spiridon», l'autre maillot orange RĂ©sultat d’une longue lutteCette mutation est le propos du film Free to Run, du documentariste genevois Pierre Morath, qui sort mercredi 24 fĂ©vrier sur les Ă©crans romands. Comme toutes les grandes idĂ©es, la sienne est toute simple raconter l’histoire du running. Avec pour sous-titre ce qui nous semble aujourd’hui aller de soi est en fait le fruit d’une longue coureur de niveau national, historien, entraĂźneur, propriĂ©taire de magasins d’articles de sport, Pierre Morath avait toutes les clĂ©s pour saisir le sens profond de cette pratique rĂ©cente, produite par la sĂ©dentarisation de la sociĂ©tĂ© et la tertiarisation du travail, et qui dit tant de nos vies modernes. Il rĂ©ussit ce que Robert Zemeckis a ratĂ© dans Forrest Gump raconter, Ă  l’aide d’images d’archives et de la voix de l’acteur Philippe Torreton, trente ans de notre sociĂ©tĂ© Ă  travers la course Ă  pied. Lire aussi Les six parents amĂ©ricains du running La sortie de Free to Run a Ă©tĂ© prĂ©cĂ©dĂ©e de nombreuses avant-premiĂšres lire ci-contre, oĂč la communautĂ© du running s’est retrouvĂ©e, Ă  la fois dans la salle et dans le film. Au fil d’une filmographie dĂ©jĂ  respectable, Pierre Morath s’est toujours efforcĂ© de montrer le sport Ă  hauteur d’homme le vestiaire de GenĂšve Servette, le car de l’équipe du Togo, la souffrance des enfants champions. Les images d’archives sont exceptionnelles, Ă  la hauteur des efforts consentis et des sommes investies pour les million d’eurosSi l’idĂ©e Ă©tait simple, sa concrĂ©tisation se rĂ©vĂ©la beaucoup plus complexe. Sept ans de travail et de recherche pour, au final, 18 mois de tournage, 18 mois de montage, 6000 heures d’archives, 80 heures d’interview et un budget d’un million d’euros. Il fut trĂšs difficile de faire financer le film, admet Pierre Morath. Le documentaire n’intĂ©resse pas le cinĂ©ma et la tĂ©lĂ©vision veut un format standard de 52 minutes.» Comme Pierre avait tout en tĂȘte depuis le dĂ©but, il Ă©tait clair d’emblĂ©e que ce projet allait coĂ»ter cher, se souvient le producteur Fabrice EstĂšve. La pĂ©riode couverte est trĂšs longue, les archives olympiques se nĂ©gocient 20 000 dollars la minute. Surtout, les amateurs de documentaires n’aiment pas le sport, les amateurs de sport ne regardent pas les documentaires.»Le film a fait le plein des avant-premiĂšres, a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© achetĂ© dans de nombreux pays, mais doit dĂ©sormais tenir le pari d’une sortie en salles. Il faut convaincre les spectateurs que Free to Run va au-delĂ  du running», rĂ©sume Pierre Morath. Un Ă©pisode le dĂ©montre de maniĂšre particuliĂšrement Ă©loquente. En 1976, Fred Lebow, l’un des organisateurs du marathon de New York, convainc ses collĂšgues que la course, alors trĂšs modeste, doit sortir de Central Park pour visiter les cinq arrondissements de la ville Manhattan, Queens, Bronx, Brooklyn, Staten Island. Lire aussi Le souffle de l'Ă©popĂ©e fait courir le bouche Ă  oreille Il faut se souvenir de ce qu’est New York Ă  cette Ă©poque. Big Apple est pourrie mais Fred Lebow pense pouvoir la soigner. Le marathon va unifier les quartiers», prophĂ©tise le visionnaire. Et c’est ce qui se passe! A la fin de la course, l’envoyĂ© spĂ©cial de CBS rĂ©sume Personne n’est mort, personne n’a Ă©tĂ© renversĂ© par une voiture. Pour Bill Rogers le vainqueur et pour la ville de New York, c’est un succĂšs.»DĂšs lors, le marathon semble puiser la vitalitĂ© de la ville qui ne dort jamais. Il lui offre en Ă©change un autre regard sur elle-mĂȘme. New York se pacifie, se nettoie. Dans Central Park, on ne croise plus des dealers mais Dustin Hoffman ou Jackie Onassis faisant leur jogging. Les autres villes copient la recette. Dans les annĂ©es 1990, le marathon urbain devient un Ă©norme business. Le flot de coureurs, qui n’était qu’un petit torrent de montagne, devient un long fleuve tranquille, qui grossit, grossit, et charrie parfois des eaux Morath n’élude pas la dĂ©rive d’une activitĂ© libre et gratuite» vers une Ă©conomie du running. Le salaire moyen des participants au marathon de New York est supĂ©rieur Ă  100 000 dollars par an. On s’est mis Ă  regarder sa montre au lieu d’admirer le paysage», regrette aujourd’hui le Dr Norbert Sander, l’un des pionniers de cette folle Ă©popĂ©e. Free to Run. De Pierre Morath. Suisse/France/Belgique, 1h39. Sortie le 24 fĂ©vrier.

gary réaliser un classement des champions olympiques