GrĂšveĂ  la crĂšche de Vellefaux ce jour face aux menaces pesant sur l’accueil et l’encadrement. « Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » Pour soutenir votre journalisme local, abonnez-vous ! Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne tiendra une visioconfĂ©rence de presse le mercredi 14 avril Ă  11h (lien Ă  venir). Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne appellera prochainement les parents et les de nouvelles mobilisations pour un Pasde bĂ©bĂ© Ă  la consigne ! Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne ! Les professionnels de la petite enfance dĂ©noncent la braderie des modes d’accueil. Le 8 avril est venu "confirmer la vigueur d’un mouvement d’une ampleur inĂ©dite dans le secteur de la petite enfance"(AFP) En effet professionnels et parents ne lĂąchent rien face aux contre-vĂ©ritĂ©s Ă©noncĂ©es par M me Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne aux cĂŽtĂ©s des la petite enfance pour rĂ©tablir la qualitĂ© d’accueil des tout petits. Dans un communiquĂ© adressĂ© aux candidats aux lĂ©gislatives Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rappelait que le collectif poursuit son combat pour le dĂ©veloppement des modes d’accueil qui est indissolublement liĂ© Ă  l’amĂ©lioration de la Lemouvement " Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" rĂ©clame entre autre "l’abandon des regroupements d’assistantes maternelles qui constitue le sommet de la dĂ©rĂ©glementation avec l’absence de tout encadrement et le maintien des contrats de grĂ© Ă  grĂ© avec les parents employeurs". Pourquoi ne pas rĂ©clamer un meileur encadrement et une loi spĂ©cifique Ă  ce Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne ! ». C’est le mot d’ordre de ce mouvement de grĂšve initiĂ© ce mardi en France dans les crĂšches, Ă  l’appel de plusieurs syndicats (CGT, CFDT, Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! Pour amĂ©liorer et dĂ©velopper les modes d’accueil et la scolarisation des jeunes enfants Les mesures et projets gouvernementaux concernant les modes d’accueil des jeunes enfants (dont le projet de modification du dĂ©cret du 20 fĂ©vrier 2007, relatif aux Ă©tablissements et services d’accueil de la petite enfance) ainsi pHTV. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! Un rassemblement et une grĂšve avaient pour but de prĂ©server la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants. Le personnel des crĂšches ne veut pas de dĂ©gradation du mode d’accueil des petits enfants Il s’inquiĂšte d’une nouvelle rĂ©forme gouvernementale gardĂ©e secrĂšte aprĂšs le dĂ©cret Morano de 2009 qui viserait Ă  rĂ©duire l’encadrement et la surface par enfant. Actuellement, il faut 7 mÂČ par enfant, l’espace serait rĂ©duit Ă  5, 5 mÂČ L’encadrement est actuellement d’une auxiliaire pour 5 bĂ©bĂ©s et une pour 8 enfants qui marchent. Avec cette rĂ©forme, le personnel qualifiĂ© pourrait ĂȘtre remplacĂ© par des personnes non qualifiĂ©es. Les manifestantes rejettent la marchandisation de la petite enfance. Il faut savoir que le financement par la CAF dĂ©pend du taux d’occupation. On assiste aussi Ă  la multiplication des crĂšches privĂ©es, plus chĂšres pour les parents. Selon la dĂ©lĂ©guĂ©e CFDT, la qualitĂ© de l’accueil est maintenue pour l’instant Ă  Besançon dans les 12 crĂšches municipales sous la responsabilitĂ© des Ă©lus M Dahoui et de Madame Rosa Rebrab La mairie de Besançon a mis en place un guichet unique pour inscrire son enfant soit dans une des 12 crĂšches collectives offrant 470 places pour un accueil rĂ©gulier, soit dans les crĂšches familiales ou les haltes garderies Un rassemblement a Ă©tĂ© organisĂ© Ă  14 h esplanade des droits de l’homme avec le soutien des syndicats CFDT, FO et Sud. Le personnel de la crĂšche des Chaprais, rue Suard, une des plus grosses de la ville Ă©tait reprĂ©sentĂ© Un petit groupe qui travaille dans une crĂšche privĂ©e Ă©tait aussi prĂ©sent Selon le syndicat FO, 152 agents de la Petite Enfance Ă  Besançon se sont dĂ©clarĂ©s grĂ©vistes ce jeudi 23 mai 2019 Cette mobilisation entre dans le cadre d’une mobilisation nationale des agents des structures de la petite enfance. Le but du mouvement est de prĂ©server la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants. Les syndicats craignent des mesures du projet de rĂ©forme du ministĂšre de l’action sociale et de la santĂ© taux d’encadrement dĂ©gradĂ©, possibilitĂ© d’accueil en surnombre, surface d’accueil rĂ©duite, etc. Voici les revendications du mouvement national Atteindre l’objectif d’un ratio moyen d’encadrement d’un professionnel pour cinq enfants en Ă©tablissement d’accueil du jeune enfant Ă  l’horizon 2022. Revenir Ă  un ratio d’au moins 50% de professionnels les plus qualifiĂ©s en EAJE, mesure qui devrait ĂȘtre immĂ©diatement suivie d’un plan de formation initiale et continue permettant d’élever progressivement ce ratio. Limiter les possibilitĂ©s d’accueil en surnombre Ă  110% de l’effectif en EAJE. Garantir une surface de 7 mÂČ minimum par enfant. Élever globalement les niveaux de qualification de l’ensemble des professionnel-le-s des modes d’accueil individuels et collectifs, en formation initiale et formation continue diplĂŽmante et permettre Ă  tous de bĂ©nĂ©ficier de rĂ©els parcours de promotion professionnelle. Instituer et financer des temps d’analyse sur les pratiques professionnelles en EAJE et pour les assistant-e-s maternel-le-s exerçant Ă  domicile. RedĂ©finir le mode de financement des EAJE en encadrant la tendance Ă  rentabiliser » les temps d’accueil au dĂ©triment de la qualitĂ© d’accueil. About Author Billets similaires PubliĂ© le 24/03/2010 Ă  1054 Les slogans Ă©taient recherchĂ©s, comme cela est souvent le cas lorsque le sort des enfants est en jeu. Ni sardines, ni Ă  la consigne, les bĂ©bĂ©s garderont bonne mine ! », expliquent avec le sourire les membres du collectif animĂ© par des acteurs de la petite enfance. Le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! » parents et professionnels s'Ă©tait fortement mobilisĂ© pour la journĂ©e d'action du jeudi 11 mars avec un grand nombre d'Ă©tablissements dans l'action. Hier, la crĂšche d'Agen Ă©tait fermĂ©e ; du personnel de crĂšches associatives s'Ă©tait dĂ©placĂ© Ă  la manifestation. Nous voulons prĂ©server la qualitĂ© de l'accueil des tout-petits », commente Karol Dubois, secrĂ©taire du syndicat des territoriaux de la CGT, une des composantes du collectif. En cause, le retrait du dĂ©cret contestĂ©. DĂ©cret dĂ©criĂ© A Agen hier, une dĂ©lĂ©gation a Ă©tĂ© reçue par le directeur de cabinet du maire d'Agen, Jean Dionis du SĂ©jour. Une motion lui fut remise Ă  dĂ©faut de rencontrer le dĂ©putĂ©-maire ».Personnels et parents refusent les dĂ©gradations annoncĂ©es par le gouvernement sur la qualitĂ© des modes d'accueil des jeunes enfants ». Le collectif rĂ©clame Ă©galement l'ouverture de nĂ©gociations sur l'accueil des petits. Sans rĂ©ponse favorable, le principe d'une journĂ©e nationale est dĂ©cidĂ© pour le jeudi 8 avril. L’accueil et l’écoute, par les professionnelles de la petite enfance, des parents qui leur confient quotidiennement leurs enfants Ă  la crĂšche sont primordiaux ni bĂ©bĂ©s ni parents Ă  la consigne !Ni bĂ©bĂ©s ni parents Ă  la consigne ! L’accueil et l’écoute, par les professionnelles de la petite enfance, des parents qui leur confient quotidiennement leurs enfants sont primordiaux. Dans les lieux d’accueil de la petite enfance, la qualitĂ© de la rencontre avec les familles constitue un enjeu essentiel pour offrir aux tout-petits une premiĂšre entrĂ©e en sociĂ©tĂ© qui respecte leur rythme et leur vulnĂ©rabilitĂ©. Cette recherche coopĂ©rative montre qu’ĂȘtre Ă  l’écoute des parents, de leurs histoires, leurs Ă©motions et leurs conceptions Ă©ducatives singuliĂšres nĂ©cessite un vrai travail d’élaboration dans les institutions de la petite enfance, ce qui requiert du temps et des conditions favorisantes. À partir de situations de la vie quotidienne en crĂšche, les analysent comment se construisent ces savoirs professionnels subtils. Ils mettent en Ă©vidence le paradoxe entre le manque de reconnaissance des professions de l’éducation et du soin dans notre sociĂ©tĂ© et l’importance qu’elles revĂȘtent pour la santĂ© des plus vulnĂ©rables, des nourrissons aux personnes ĂągĂ©es. La rĂ©forme des modes d’accueil de la petite enfance continue Ă  ne pas faire l’unanimitĂ© auprĂšs des Le gouvernement prĂ©voit nĂ©anmoins de publier les ordonnances de cette rĂ©forme courant juin. Lire la suite
 Cette loi est dangereuse, le 15 avril 2021, le CA de la CNAF Caisse Nationale des Affaires Familiales a rejetĂ© le projet de dĂ©cret rĂ©formant les modes d’accueil. Cette rĂ©forme c’est La possibilitĂ© d’accueillir plus de bĂ©bĂ©s par L’accueil en surnombre tous les jours. L’absence d’expĂ©rience professionnelle pour le personnel encadrant. Le calcul de leffectif moyen annuel du personnel pour le ratio des 40% de et 60 % de L’inclusion des apprentis dans le calcul du taux d’encadrement. L’administration des mĂ©dicaments par les non La diminution de la surface d’accueil par enfant de 7m2 Ă  5,5 m2. Exemples de quotas d’accueil des tous petits Hollande 3 enfants pour un adulte, Hongrie 4 enfants pour un adulte, GrĂšce 4 enfants pour un adultes
 En France, cette rĂ©forme fera passer le nombre d’enfants de 5 Ă  6 enfants pour un adulte. Nous revendiquons L’abandon de la loi ASAP et des projets dordonnaces associĂ©s Le bien ĂȘtre et la sĂ©curitĂ© des enfants des Ă©tablissements d’accueil et un Service public de la Petite Enfance de qualitĂ© Des conditions de travail dĂ©centes Une vĂ©ritable reconnaissance des Une prise en compte de la pĂ©nibilitĂ© permettant un dĂ©part anticipĂ© Ă  la retraite Une revalorisation des salaires et des carriĂšres La mobilisation doit se poursuivre ! NON Ă  la dĂ©gradation de nos mĂ©tiers pour la compĂ©titivitĂ© lucrative NON Ă  des conditions de travail de plus en plus difficiles et dĂ©gradĂ©es NON Ă  un manque de criant encore plus Ă  cette pĂ©riode de Covid NON Ă  un nombre d’enfants toujours plus important Ă  accueillir NON Ă  des protocoles sanitaires difficilement applicables avec les moyens allouĂ©s. Tous et toutes jeudi 3 juin 2021 En deux mois les de la petite enfance ont Ă  nouveau fait grĂšve Ă  deux reprises dans toute la France, en dĂ©pit des contraintes de la crise sanitaire, pour une rĂ©forme des modes d’accueil favorable aux tout petits. Ce 30 mars, comme en fĂ©vrier, des centaines de crĂšches Ă©taient dans le mouvement, et les dans la rue dans 40 villes, 1300 Ă  Paris, 250 Ă  Toulouse, 200 Ă  Lyon et Nice, 150 Ă  Montpellier et une centaine Ă  Marseille, Pau, Limoges, Dijon, Carcassonne, Toulon... Sur la page facebook du ministĂšre de la santĂ©, plus de 100 tĂ©moignent sur les conditions actuelles d’accueil dans les crĂšches et dĂ©noncent leur prochaine aggravation si la rĂ©forme venait Ă  s’appliquer. Il y a plusieurs mois, la Commission des 1000 premiers jours Ă©mettait des prĂ©conisations pour un accueil de qualitĂ© dont aucune n’est retenue dans la rĂ©forme gouvernementale. Reçus par le directeur de cabinet d’Adrien Taquet, aucune de nos demandes pour assurer la qualitĂ© d’accueil la plus Ă©lĂ©mentaire n’a trouvĂ© grĂące aux yeux du gouvernement ni l’extension Ă  12 heures par an du temps d’analyse de pratiques en crĂšche et son application de droit aux assistantes maternelles, ni l’exclusion des apprentis du calcul du taux d’encadrement, ni le principe de prĂ©server un taux d’encadrement des bĂ©bĂ©s d’un pour cinq en cas de choix par le gestionnaire d’un taux moyen d’un pour six, ni la conservation d’un ratio 40/60 en permanence et pas en "moyenne annuelle". Le grand Ă©cart entre les dĂ©clarations de principe ‐ rĂ©fĂ©rence permanente Ă  la charte d’accueil du jeune enfant ‐ et les mesures concrĂštes de la rĂ©forme se confirmerait‐il comme la marque de fabrique de la politique gouvernementale envers la petite enfance ? Nous ne nous rĂ©soudrons pas Ă  abandonner la cause des tout petits. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne appelle les de la petite enfance, les parents, les les Ă  tĂ©moigner inlassablement de la rĂ©alitĂ© actuelle dans les modes d’accueil et de leur opposition Ă  voir la qualitĂ© d’accueil se dĂ©grader encore tĂ©moignages sur Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne tiendra une visioconfĂ©rence de presse le mercredi 14 avril Ă  11h lien Ă  venir. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne appellera prochainement les parents et les Ă  de nouvelles mobilisations pour un vĂ©ritable printemps des modes d’accueil.

pas de bébés à la consigne