25juin 2016 - Le lièvre pense qu'il est le plus rapide, et il en est tellement sĂ»r qu'il prend le temps, pendant la course, de faire un concours de saut en hauteur avec la grenouille, et de faire une sieste. Mais l'effort soutenu de la tortue finit par payer. Cette version très originale a Ă©tĂ© créée spĂ©cialement pour Textedu Chapitre "Le Lièvre et la Tortue" Atramenta . Retour Ă  l'accueil Atramenta. Le Lièvre et la Tortue Par Jean de la Fontaine. Ĺ’uvre du domaine public. Date de publication sur Atramenta : 10 mars 2011 Ă  13h29. Dernière modification : 30 mars 2014 Ă  8h58. Vous ĂŞtes en mode "plein Ă©cran". Lire en mode normal (façon ereader) Le Lièvre et la Tortue. Rien ne sert LeLièvre et la Tortue par Collectif aux Ă©ditions Larousse. Genre : le rĂ©cit en vers qui met en scène des hommes ou des animaux personnifiĂ©s, suivi d’une morale.RĂ©sumĂ© de l’histoire : La tortue dĂ©fie le lièvre Ă  la cours ColoriageĂ  imprimer: le Lièvre et la Tortue. Qui des deux dans la course va gagner, entre le lièvre et la tortue? Ce n'est pas toujours celui que l'on croit qui obtient la victoire Le lièvre, AnA1 poster sized print, approx 23"x33" (594x841mm). 1743983 The Cicada and the Ant, illustration from Fables by Jean de la Fontaine, 1905-06 (colour litho) by Rabier, Benjamin (1869-1939) (after); Private Collection; (add.info.: La cigale Lelièvre et la tortue texte Ă  imprimer. Kortsuja halvalla. Le lièvre et la tortue texte Ă  imprimer. Lavadora y secadora ge quality product. Khopoli news paper. Trinidad carnival costume Lelièvre et la tortue - version enrichie - - Sylvie Roberge - Lièvre et Tortue ont dĂ©cidĂ© de faire la course. Lièvre est certain de gagner. Il en profite donc pour s’amuser un peu. De son cĂ´tĂ©, Tortue ne se laisse pas distraire. Elle n’a qu’une idĂ©e en tĂŞte : arriver la première. Une fable revisitée pour en faciliter la lecture. 1hRctbb. Web server is down Error code 521 2022-08-27 032333 UTC What happened? The web server is not returning a connection. As a result, the web page is not displaying. What can I do? If you are a visitor of this website Please try again in a few minutes. If you are the owner of this website Contact your hosting provider letting them know your web server is not responding. Additional troubleshooting information. Cloudflare Ray ID 7411b06e3e7c9180 • Your IP • Performance & security by Cloudflare L'histoire Rien ne sert de courir ; il faut partir Ă  point. Le Lièvre et la Tortue en sont un tĂ©moignage. Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez point SitĂ´t que moi ce but. — SitĂ´t ? ĂŠtes-vous sage ? Repartit l'animal lĂ©ger. Ma commère, il vous faut purger Avec quatre grains d'ellĂ©bore. — Sage ou non, je parie encore. Ainsi fut fait et de tous deux On mit près du but les enjeux Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire, Ni de quel juge l'on convint. Notre Lièvre n'avait que quatre pas Ă  faire ; J'entends de ceux qu'il fait lorsque prĂŞt d'ĂŞtre atteint Il s'Ă©loigne des chiens, les renvoie aux Calendes, Et leur fait arpenter les landes. Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter, Pour dormir, et pour Ă©couter D'oĂą vient le vent, il laisse la Tortue Aller son train de SĂ©nateur. Elle part, elle s'Ă©vertue ; Elle se hâte avec lenteur. Lui cependant mĂ©prise une telle victoire, Tient la gageure Ă  peu de gloire, Croit qu'il y va de son honneur De partir tard. Il broute, il se repose, Il s'amuse Ă  toute autre chose Qu'Ă  la gageure. Ă€ la fin quand il vit Que l'autre touchait presque au bout de la carrière, Il partit comme un trait ; mais les Ă©lans qu'il fit Furent vains la Tortue arriva la première. Eh bien ! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ? De quoi vous sert votre vitesse ? Moi, l'emporter ! et que serait-ce Si vous portiez une maison ? , Les fables de La Fontaine, ill. Thomas Tessier DĂ©couvrir Le lièvreLe lièvre est un animal aux longues pattes arrière qui vit dans les champs, les prĂ©s et les bois dont il affectionne la lisière. Sa fourrure est de couleur brune ou grise, le ventre et le dessus de la queue sont blancs. Le dessous de la queue est noir tout comme le bout des oreilles. Ce dĂ©tail le diffĂ©rencie du lapin, qui par ailleurs a des oreilles plus petites et aux bouts plus lièvre est surtout actif la nuit et on peut le voir Ă  la lumière des phares, traversant des routes de campagne Ă  la recherche de nourriture. Celle-ci se compose d'herbes, de lĂ©gumes, de baies et de fruits le lièvre est un herbivore. Tout comme le lapin, il produit deux sortes de crottes les crottes sèches et les crottes molles. Ces dernières sont immĂ©diatement mangĂ©es par le lièvre car elles contiennent des protĂ©ines et des que le lièvre vive en solitaire la plupart du temps, les rencontres entre mâles donnent lieu Ă  de violents combats au moment de la reproduction. La femelle, appelĂ©e hase, met au monde 3 ou 4 portĂ©es par an. Les petits, au nombre de 2 Ă  5 par portĂ©e, sont autonomes dès l'âge de 1 le lapin creuse des terriers, le lièvre se contente d'un creux dans le sol ou la vĂ©gĂ©tation, Ă  l'abri des les rĂ©gions froides, on trouve le lièvre variable, dont la fourrure devient blanche en hiver pour se confondre avec les paysages de neige et Ă©viter ainsi d'ĂŞtre repĂ©rĂ© par ses prĂ©dateurs loup, renard, rapaces. La tortueIl existe plus de 200 espèces de tortues appartenant toutes Ă  la famille des reptiles. La tortue peut mesurer de quelques centimètres Ă  2 mètres, peser de 100 g Ă  600 kg, vivre sur terre ou dans l'eau eau de mer ou eau douce. Les tortues terrestres ont une carapace plus bombĂ©e que les tortues d'eau et ces dernières ont des pattes plupart des tortues ont une carapace soudĂ©e au squelette et qui est formĂ©e de plaques osseuses. Seuls les membres et la tĂŞte sont libres. Cette solide carapace alourdit l'animal et ralentit ses dĂ©placements, mais elle a l'avantage de le protĂ©ger des attaques d'autres animaux ainsi que des variations de tempĂ©rature. Ces animaux Ă  sang froid doivent rechercher la tempĂ©rature idĂ©ale pour que leur corps ne soit ni trop chaud, ni trop froid. D'ailleurs, les tortues ignorent les rigueurs de l'hiver car elles hibernent dans la vase pour les tortues d'eau, dans la terre pour les autres.Les mâchoires des tortues ne disposent pas de dents mais d'une plaque cornĂ©e dure une sorte de bec qui facilite la saisie et le broyage des Ĺ“ufs sont pondus dans un trou creusĂ© dans le sol par les pattes arrière. Ils sont abandonnĂ©s par la mère et deux mois après, les petites tortues en sortent et se dĂ©brouillent seules. Peu survivent car elles sont la proie de nombreux animaux. Par contre celles qui y parviennent peuvent atteindre des âges très respectables car leur longĂ©vitĂ© n'est pas une lĂ©gende. Elles vivent une cinquantaine d'annĂ©es, mais il existe des tortues qui vivent au-delĂ  des 100 ans. Les modes de dĂ©placementHormis certaines espèces, comme les mollusques qui restent toujours fixĂ©s au mĂŞme endroit, la grande majoritĂ© des animaux se dĂ©place. Et la nature offre le spectacle d'une grande diversitĂ© de moyens de animaux terrestres se dĂ©placent Ă  l'aide de pattes dont le nombre varie, ou bien rampent sur le sol comme les serpents.Le record de vitesse est dĂ©tenu par le guĂ©pard, qui peut rĂ©aliser des pointes de 110 km/h. Dans les airs, c'est le martinet qui est le plus rapide il peut voler Ă  170 km/h, peut-ĂŞtre Ă  Ă©galitĂ© avec le faucon la quasi-totalitĂ© des oiseaux vole, il y a pourtant des exceptions c'est le cas de l'autruche, de l'Ă©meu, du casoar et du nandou, trop lourds pour pouvoir s'Ă©lever dans les airs. Le plus lourd est l'autruche qui peut atteindre les 150 le paresseux, qui passe sa vie suspendu aux branches des arbres, est l'animal qui se dĂ©place le plus lentement. En fait, il ne le fait que par nĂ©cessitĂ©, pour rechercher les feuilles et les bourgeons qui constituent sa nourriture et qu'il consomme sur mammifères sont appelĂ©s volants, non parce qu'ils ont des ailes, mais parce qu'ils disposent de replis de peau entre les pattes avant et arrière. En fait, ce sont des planeurs. C'est le cas notamment de certaines espèces d'Ă©cureuils et de aux poissons volants, ils utilisent leurs nageoires comme des ailes et se servent de leur queue pour prendre appui sur l'eau. Le jeu Écouter l'histoire Rien ne sert de courir ; il faut partir Ă  point. Le Lièvre et la Tortue en sont un tĂ©moignage. Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez point SitĂ´t que moi ce but. — SitĂ´t ? ĂŠtes-vous sage ? Repartit l'animal lĂ©ger. Ma commère, il vous faut purger Avec quatre grains d'ellĂ©bore. — Sage ou non, je parie encore. Ainsi fut fait et de tous deux On mit près du but les enjeux Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire, Ni de quel juge l'on convint. Notre Lièvre n'avait que quatre pas Ă  faire ; J'entends de ceux qu'il fait lorsque prĂŞt d'ĂŞtre atteint Il s'Ă©loigne des chiens, les renvoie aux Calendes, Et leur fait arpenter les landes. Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter, Pour dormir, et pour Ă©couter D'oĂą vient le vent, il laisse la Tortue Aller son train de SĂ©nateur. Elle part, elle s'Ă©vertue ; Elle se hâte avec lenteur. Lui cependant mĂ©prise une telle victoire, Tient la gageure Ă  peu de gloire, Croit qu'il y va de son honneur De partir tard. Il broute, il se repose, Il s'amuse Ă  toute autre chose Qu'Ă  la gageure. Ă€ la fin quand il vit Que l'autre touchait presque au bout de la carrière, Il partit comme un trait ; mais les Ă©lans qu'il fit Furent vains la Tortue arriva la première. Eh bien ! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ? De quoi vous sert votre vitesse ? Moi, l'emporter ! et que serait-ce Si vous portiez une maison ? Regarder l'histoire Sorry, your browser doesn't support embedded videos. Lire l'histoire avec une aide Le Lièvre et la Tortue Rien ne sert de courir ; il faut partir Ă  point. Le Lièvre et la Tortue en sont un tĂ©moignage. Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez point SitĂ´t que moi ce but. — SitĂ´t ? ĂŠtes-vous sage ? Repartit l'animal lĂ©ger. Ma commère, il vous faut purger Avec quatre grains d'ellĂ©bore. — Sage ou non, je parie encore. Ainsi fut fait Et de tous deux On mit près du but les enjeux Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire, Ni de quel juge l'on convint. Notre Lièvre n'avait que quatre pas Ă  faire ; J'entends de ceux qu'il fait lorsque PrĂŞt d'ĂŞtre atteint Il s'Ă©loigne des chiens, Les renvoie aux Calendes, et leur fait arpenter les landes. Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter, Pour dormir, et pour Ă©couter d'oĂą vient le vent, Il laisse la Tortue aller son train de SĂ©nateur. Elle part, elle s'Ă©vertue ; Elle se hâte avec lenteur. Lui cependant mĂ©prise une telle victoire, Tient la gageure Ă  peu de gloire, Croit qu'il y va de son honneur De partir tard. Il broute, il se repose, Il s'amuse Ă  toute autre chose Qu'Ă  la gageure. Ă€ la fin quand il vit Que l'autre touchait presque au bout de la carrière, Il partit comme un trait ; Mais les Ă©lans qu'il fit furent vains La Tortue arriva la première. Eh bien ! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ? De quoi vous sert votre vitesse ? Moi, l'emporter ! Et que serait-ce si vous portiez une maison ? Description Texte imprimĂ© sur papier fait main Format A4 Bords barbe naturelle Selon notre production, les textes sont imprimĂ©s sur du papier blanc ou avec de lĂ©gères inclusions de vĂ©gĂ©taux. Texte Rien ne sert de courir ; il faut partir Ă  point. Le Lièvre et la Tortue en sont un tĂ©moignage. Gageons, dit celle-ci, que vous n’atteindrez point SitĂ´t que moi ce but. – SitĂ´t ? Etes-vous sage ? Repartit l’animal lĂ©ger. Ma commère, il vous faut purger Avec quatre grains d’ellĂ©bore. – Sage ou non, je parie encore. Ainsi fut fait et de tous deux On mit près du but les enjeux Savoir quoi, ce n’est pas l’affaire, Ni de quel juge l’on convint. Notre Lièvre n’avait que quatre pas Ă  faire ; J’entends de ceux qu’il fait lorsque prĂŞt d’être atteint Il s’éloigne des chiens, les renvoie aux Calendes, Et leur fait arpenter les landes. Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter, Pour dormir, et pour Ă©couter D’oĂą vient le vent, il laisse la Tortue Aller son train de SĂ©nateur. Elle part, elle s’évertue ; Elle se hâte avec lenteur. Lui cependant mĂ©prise une telle victoire, Tient la gageure Ă  peu de gloire, Croit qu’il y va de son honneur De partir tard. Il broute, il se repose, Il s’amuse Ă  toute autre chose Qu’à la gageure. A la fin quand il vit Que l’autre touchait presque au bout de la carrière, Il partit comme un trait ; mais les Ă©lans qu’il fit Furent vains la Tortue arriva la première. Eh bien ! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ? De quoi vous sert votre vitesse ? Moi, l’emporter ! et que serait-ce Si vous portiez une maison ? Jean de La Fontaine, Fables de La Fontaine, Le Lièvre et la Tortue Sujet Réécriture du lièvre et la tortue..... Lu 1076 fois dolorossa Bonjour a tous,C'est le premier texte que je publie ici. C'est une version moderne du lièvre et la relou et le galant Rien ne sert de frimer, il faut parfois de la subtilitĂ©Le relou et le galant en sont le tĂ©moignageParions dit celui-ci que je serais le premier Ă  la charmerLe premier, t'es sĂ©rieux lĂ  ? J'vais t'mettre la rage !Repartit le relou d'un ton Ă©nervĂ©HĂ© mec faut te faire soignerTu prends trop la grosse tĂŞteGrosse tĂŞte ou pas, je m'entĂŞteA ces mots les deux compères, dans un duel s’engagèrentEt de tous les cotĂ©s les critiques fusèrentC'Ă©tait Pâris et MĂ©lĂ©nas version territoire urbaineEt seul un baiser pourra y mettre finNotre relou n'avait que sa dĂ©capotable Ă  sortirJ'entends de celle qu'il passe son temps Ă  polirIl nĂ©glige ses vĂŞtements, laisse sa chemise au placardEt retourne vite fait au fond de son plumardPasser son temps dans les bras de MorphĂ©ePour dormir et Ă©couter du rap de citĂ©Il laisse la galantSe pomponner et se coiffer proprementFaire son nĹ“ud de cravateEt choisir ses plus belles savatesLe relou cependant, prĂŞte peu d’intĂ©rĂŞt Ă  ce dĂ©fiEt tiens le galant Ă  peu de gloireIl est sans peur et sans reprochesLes filles il les mets dans sa pocheEt quand enfin il compritQue l'autre allait peut-ĂŞtre l'emporterDans la salle de bain il partitEn vain, car en arrivant le galant l'avait embrassĂ©Tu vois lui dit-ilL'apparence ne fait pas toutEncore faut-il Un minimum de goutA vos critiques..... IP archivĂ©e Salut version territoire urbaineurbainIl laisse la galantleEt tiens le galant Ă  peu de gloiretient Ă  mon aviset j'ai pas pigĂ© cette phrase. Tenir quelqu'un Ă  peu de gloire je vois pas se que ça veut direL'apparence ne fait pas toutEncore faut-ilUn minimum de goutmmmmmh. Je suis pas convaincu sur cette dis que l'apparence ne fait pas tout pourtant, le seul truc que tu nous propose c'est le "duel" entre un mecs avec une grosse voiture et un mecs qui se fait beau devant le mon avis, ça manque justement de "subtilitĂ©". Surtout que ce sont quand mĂŞme pas mal de clichĂ© que tu nous propose lĂ . De plus, dans ce genre de "concours", je serais surtout curieux d'entendre la rĂ©ponse de la fille convoitĂ©. Bref, la rĂ©ecriture, c'est toujours un truc sympa, et il y a moyen d'en tirer des bon trucs mais tel quel lĂ , ça ne m'a pas accrochĂ©. Sur la forme, tes vers sont un peu bancale, on sent que tu as quand voulu avoir une mĂ©trique plus ou moins regulière, mais tout ne marche ĂŞtre une autre foisau plaisir IP archivĂ©e L' an dernier, les 400 ans de la naissance de Jean de la Fontaine Ă  Château-Thierry dans l' Aisne ont Ă©tĂ© fĂŞtĂ©s . Quel anniversaire ! Le lièvre et la tortue Le Lièvre et la Tortue, MusĂ©um de Genève, Fiami, Fable de La Fontaine Clique sur le texte pour l' agrandir et l' imprimer si tu veux ! Qu'est ce qu'une fable ? Une fable est une courte histoire teintĂ©e d'humour, le plus souvent Ă©crite en vers. Elle a pour but de distraire le lecteur tout en l'instruisant c'est pourquoi, elle se conclut sur une leçon que l'on appelle la morale. Illustration Grandville Illustration Gustave DorĂ© 1876 Illustration Willy Aractingi Illustration GĂ©rard Lefort Illustration Thomas Tessier Les fables d' Esope Esope serait un conteur grec de l'AntiquitĂ© ayant vĂ©cu il y a environ 2500 ans. Ses fables se sont transmises oralement pendant des siècles jusqu'Ă  ce que des Ă©crivains comme Phèdre dĂ©cident de les mettre par Ă©crit. Le plus connu de tous est certainement Jean de la Fontaine, qui s'est directement inspirĂ© des fables d'Esope pour Ă©crire les siennes. Le lièvre et la tortue adaptĂ©e des fables d' Esope Les enfants de l’école Bouxière de Capavenir Vosges Thaon ont imaginĂ© cette fable Ă  leur façon... Le lièvre se vantait de la vitesse Ă  laquelle il pouvait courir mais la tortue accepta le dĂ©fi faire la course contre le lièvre. Qui gagnera la course? Des buvards publicitaires Les Ă©coliers des annĂ©es 1950 et 1960 Ă©crivaient sur leurs cahiers avec des porte-plumes et de l' encre. C' Ă©tait beaucoup moins pratique qu' un stylo-bille ... et l' on pouvait faire des tâches. Pour Ă©viter celles-ci, on se servait de buvards. Une boĂ®te de camembert

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